Léopold-Victory Dames
Il faisait grand bleu au Léo. Le marquoir affichait 28°C !
Les deux arbitres se prénommaient Maxime. Denis est le fils d’Eric, l’ancien arbitre qui officie aujourd’hui dans le comité d’arbitrage avec en charge les internationaux. Les chiens ne font pas des chats.
Ces rencontres sont jouent en pleines vacances de Pâques. La manager du Léo cherchait désespérément ses ball-girls. « Ce sont toujours les mêmes qui nous aident mais elles sont en vacances. alors on a pris un papa, une maman, une de leur fille et Benoît P. (que tout le monde connaît). » Quant au public, il était également en vacances : au coup de sifflet initial, on comptait 30 spectateurs; le chiffre est monté à 50 à la fin du premier quart. »
30e minute, une joueuse du Léo poussait la joueuse du Victory Peijs qui s’effondrait : coup de sifflet de M. Denis, pc ! « C’est chaque fois la même joueuse qui se laisse tomber, c’est une vraie poupée Barbie, celle-là ! », s’exclamait une défenseure du Léo. Poupée Barbie ne doit pas être repris dans le lexique de l’arbitre comme injure : pas de réaction de Mr Denis.
Si les joueuses se mettent à l’écart à la mi-temps pour le débriefing et les consignes, à l’interruption des quarts-temps, les instructions sont données face aux dug-outs par les coaches. A la pause du 3e quart, un spectateur-papa du Victory s’est gentiment approché du banc du Léo et a écouté le discours de Dorian Thiéry : « Il faut tirer à mi-hauteur pour tromper la gardienne ! » Le papa se rendit alors à son aise vers l’autre banc où se trouvait le staff victorien pour leur parler. Les supporters du Léo ayant vu le manège, s’écriaient : « Espion ! Espion ! » Thiéry ayant vu le manège, s’est dirigé vers l’espion en question en lui craint : « Reste-là et ne revient plus. Je n’ai pas besoin de toi pour gagner ! ». Une minute après, Ballenghien envoyait son sleep à mi-hauteur dans le but du Victory. L’information n’était pas encore arrivée en défense du Victory. »
PhD
Waterloo Ducks-Racing
Alexandre De Saedeleer était en civile au bord du terrain. Il ne s’entraîne plus depuis mercredi car il s’est blessé au tendon d’Achille.
Lors de la montée sur le terrain, les ball boys et les arbitres montaient en oubliant d’inviter les joueurs qui étaient restés sur leur ligne.
Xavier Reckinger avait oublié ses casques pour coacher.
En fin de match, le Racing était sans raison à 6 sur le banc. Un oubli sans conséquence.
ThV
William Ghislain est devenu muet depuis un certain temps. Après analyse, il semble qu’il a choisit une manière de ne plus déserrer les dents en tenant son protège-dent de manière singulière. Quant à celui que porte en bouche Loic Vanwetter, il prend visiblement beaucoup de place.
Pingouin-Herakles
Zoulou Brûlé n’était pas sur le banc du Pingouin ce dimanche. Le coach des Nivellois était en vacances. Vacances certainement réservées avant qu’il ne reprenne l’équipe pour le deuxième tour.
Il nous manque des vrais avants », confiait Max Bertrand au terme de la rencontre. « Nous avons des défenseurs, des milieux de formation qui jouent en attaque et cela se ressent ».
« Tu crois qu’il fait super chaud? », Alexis Leclef a du, comme d’autres joueurs, se réhabituer à la chaleur.
Lorsque les supporters nivellois commençaient à faire entendre leurs voix en deuxième période, on nous glissait qu’il s’agissait là du tournant du match. Malheureusement pour le supporter local, sa prédiction ne s’avérait pas juste.
BL
Léopold-Daring
Carte jaune de Bytebier pour un tacle physique, personne ne protestait puisqu’il taclait « physiquement » un joueur Ucclois. La sanction est sans équivoque, jaune 10. Rasmussen, qui attendait pour monter, lui expliquait pourquoi sa carte était justifiée et lui expliquait comment faire pour que ca ne se reproduise plus.
A la 14e, l’arbitre Pontus arrêtait le temps pour calmer les joueurs.
Pontus devait changer de micro après le premier quart.
Un supporter résumait la situation du Léo après le premier quart : « Ils ne jouent pas mal, mais ils ne marquent pas ». Une minute après ce commentaire c’était 1-0.
Degroote sur le bord du terrain pour changer : « Arthur, Arthur, viens vite, on a n’a pas de sleeper sur le terrain ». Effectivement les possibilités du Léo étaient réduites avec l’absence de Russell parti aux jeux du Commonwealth.
L’arbitre Dutrieux discutait beaucoup avec les joueurs, parfois pour expliquer ses décisions parfois pour calmer les ardeurs.
Il était prévu d’arroser à la mi-temps. Pourtant, il n’y avait rien qui sortait des arroseurs. Pas moyen d’arroser le terrain.
Pontus et Eaton rigolaient à la mi-temps juste avant de reprendre la partie, ils discutaient de la carte que ce dernier avait pris pour rouspétence juste avant la mi-temps.
Le marquoir du Léo affichait 27 degrés.
A. Verdussen prenait vert pour avoir trainé trop longtemps dans la préparation du pc. Il est vrai que les Ucclois ont pris leur temps…même après l’avertissement de Pontus.
Thiéry sortait pour une deuxième verte. Il y allait de son petit commentaire en sortant….., heureusement pour lui, Mr Pontus ne l’entendit pas. Pour le même prix, Callioni voyait rouge il y a quelques semaines.
AG
Dragons-Braxgata
Le Dragons a joué avec 15 joueurs sur la feuille de match.
Le Brax était privé de plusieurs pions importants, comme Mc Aleese, Inglis ou Cuypers.
Le jeune Van Steerteghem est monté sur le terrain pour les dernières minutes.
Il ne fallait pas arriver en retard : le Brax a ouvert la marque dès la mise en jeu. La première touche de balle du Dragons? Sur la remise en jeu après le 0-1. On a comptabilisé une petite dizaine d’occasions franches durant le premier quart.
Manu Vanneste était le délégué au terrain.
Le match a du être interrompu en fin de match, car Monsieur Marchant a reçu un masque sur le visage, et s’est écroulé par terre. A la fin du match, un bel hématome.
Les deux équipes n’ont pas été très inspirées sur pc : si la première tentative d’Hendrickx était arrêtée fautivement sur la ligne par un défenseur et donnait un stroke, les autres tentatives du Red Lions étaient sorties soit par le premier sorteur, soit par Van Rysselberghe. Du côté du Brax, ce sont 7 pc qui n’ont rien donné. Deux étaient d’ailleurs mal stoppés. Philippe Goldberg avait une explication : »Nous avons joué avec certains joueurs qui sont restés 70 min sur le terrain. Dès lors sur pc, la lucidité a parfois fait défaut. Je ne me tracasse pas ».
DR
Orée-Gantoise
Antoine Kina n’était pas sur la feuille de match gantoise pour affronter l’Orée. La raison ? Une suspension pour abus de cartes.
« Il faut continuer de jouer avec passion, on est meilleurs qu’eux ! » Alex de Paeuw, en tant que bon capitaine, motivait ses troupes depuis le banc. Malgré ses encouragements, l’Orée s’est inclinée face à la Gantoise…
« On joue bien les gars, il faut continuer, on n’a juste pas de chance… ». Parole de capitaine, chapître 2. Il est vrai que l’Orée est passée tout proche d’inscrire plus que deux buts lors de cette rencontre.
En deuxième période, Romain Delavignette devait changer pour Pol Solano. Mais malgré les cris du jeune Oréen, l’Espagnol n’entendait rien. « Je ne peux pas changer pour quelqu’un d’autre ? » demandait avec amusement Rom’ à son coach. Finalement, Solano est sorti du terrain.
FG
Louvain-Beerschot
Le match Louvain-Beerschot a commencé avec 29 minutes de retard. En cause : la citerne qui arrose le terrain avait été vidée par les matches de la matinée. Il a fallu près d’une demi-heure donc, et la patience des arbitres, pour que la situation rentre dans l’ordre.
Principale victime de cette situation, Pilou Maraite, dit Pelicano. A son premier sprint, le Liégeois est sorti en se tenant la cuisse. Verdict : sans doute une déchirure. Evidemment, une bonne demi-heure à attendre après l’échauffement, cela refroidit les muscles.
Parmi les anciens Louvanistes, comme André Van Kerckhove et Adrien Peters, personne ne se souvient au juste de la dernière fois que Louvain est descendu en D1. Le consensus semble se faire sur la fin des années 80. Entre-temps, les Universitaires ont été champions pour la seule fois de leur existence (chez les Messieurs en tout cas), en 2006.
Nicolas Mortelmans et Stanley Verhoeven, les deux buteurs du Beerschot, ont trouvé qu’ils n’avaient pas encore assez profité du soleil et ont joué la rencontre entre les équipes 2 des deux clubs (tout comme Max Goudsmet). Là aussi, le Beerschot s’est imposé, 3-5.
JFJ
Avec la complicité de : Thibaut Vinel, Jean-François Jourdain, Arnaud Martin, Damien Russel, Bertrand Lodewijckx, Pierre Van Grootloon, Philippe Demaret et de tous ceux qui ont bien voulu lâcher quelques indiscrétions, volontairement ou non…
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