La contamination au sein de l’équipe Dames du Wellington s’est jouée à un petit détail près.
C’est un jeune U16 qui a contracté le virus à l’école. Celui-ci est revenu à la maison sans savoir qu’il était contaminé. Il a partagé le virus avec sa soeur. Laquelle a fait la navette avec une autre fille de l’équipe première. Ainsi, la propagation s’est faite sans que quiconque n’ait été vraiment imprudent.
Ce n’est pas le seul cas bien sûr, d’autres ont été contaminés par d’autres biais. Le club a pris les mesures pour que tous ceux qui ont été en contact avec les contaminés ne viennent pas au club. De ce côté, les clubs prennent des mesures très strictes et la vie des clubs peut ainsi continuer sans danger au niveau des entraînements et des matchs.
Du côté du Watducks, la situation est également complexe. Là, c’est une colocation qui est en cause. Et qui se propage non seulement à l’équipe locale mais aussi à l’équipe de France. Et là aussi, les médecins ont pris les mesures qui s’imposaient.
Restez couverts
On ne le dira jamais assez, il faut garder ses distances en dehors du terrain. Et porter le masque même si c’est compliqué : c’est une obligation fédérale. La contamination au virus n’est pas anodine et les chiffres sont énormes actuellement. Même si les jeunes sont moins sensibles au virus, certains de ces jeunes ont ou vont subir des dommages à ne pas négliger. Et puis, par respect pour les parents et les plus anciens qui eux sont plus sensibles voire en grand danger, restez couverts et prudents.