C’est un cri de désespoir que lance André Stein dans un article de Christophe Verstrepen.
André Stein parle en tant que président de l’AISF, l’association des sports francophones, et il interpelle le monde politique. « Les fédérations sont en grande difficulté et ne peuvent pas aider les clubs financièrement. Et c’est pour cela qu’on se tourne vers les pouvoirs publics. La situation est grave pour le sport amateur. » Il souligne l’apport important qu’apporte les buvettes (41% du budget global), autant que les cotisations, le reste venant du sposoring. Si le monde sportif n’est pas aidé alors qu’il doit rester fermé jusque mi-janvier, si pas bien après, les clubs ne pourront plus fonctionner.
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