Waterloo Ducks – Dragons 2-0
– Pour un sommet pareil, la tribune du Wat’ était bien remplie avec l’habituel tambour. Quelques anciens joueurs du Wat étaient présents, dont le légendaire Ben Van Hove.
– Une minute de silence a été respectée en mémoire à Georges Collignon.
– Le match était retransmis à la télévision, avec donc les habitués Baudouin Peeters pour Voo et Floris Geerts pour Telenet. mais aussi Notele et d’autres médias.
– Le Dragons a joué à 15 suite à l’absence de dernière minute de Felix Denayer. Une absence qui a bien handicapé le Dragons, dans le milieu du jeu ou la vista de Flex fait merveille, mais aussi sur pc ou il est une alternative à Della Torre qui a été du coup dompté par la défense du Wat.
– Un moment quelque peu insolite durant la rencontre: sur un pc anversois, le gardien Vandenbroucke a empêché la balle de rentrer dans son but en l’arrêtant avec son casque, de manière fortuite.
– Pour certains acteurs de la rencontre, ce match avait une saveur particulière. Ainsi, Jean Willems, Tommy Willems d’un côté et Simon Gougnard affrontaient une de leurs anciennes équipes.
– Le match a été très bien arbitré par le duo Boutte – Michielsen.
– Si le match a été remporté par le Wat’, le Dragons pouvait prendre une petite revanche lors de la remise du stick d’or ce jeudi soir. Avec un duo du Dragons (van Aubel – Denayer) contre un joueur du Wat’ (Boccard).
DR
Racing – Herakles 2-0
– Une minute de silence a été respectée en début de rencontre en mémoire à Georges Collignon.
– Deux Red Lions ont joué à une place quelque peu inhabituelle pour eux. Si Victor Wegnez joue en défense cette saison pour le Racing, Nico De Kerpel a joué à l’arrière droit. Les deux joueurs sont bien évidemment polyvalents, même s’ils ont une place de prédilection, le milieu pour Wegnez, et un rôle offensif pour De Kerpel.
– Nico De Kerpel s’est blessé aux ischios en début de rencontre et n’est pas remonté sur le terrain. il avait toujours son légendaire sourire en fin de rencontre.
– L’Herakles a dû faire face à quelques absences, dont celle d’Amaury Kesteurs ou Van Damme. Le club s’est donc présenté avec 15 joueurs mais a rapidement perdu donc De Kerpel. Ajoutez à cela que deux autres joueurs ont joué avec une petite blessure et vous avez des circonstances à la défaite.
– Tanguy Cosyns continue sur son rythme d’un but par match, qui habituellement suffit pour truster la tête du classement des meilleurs buteurs. Sauf que cette année, Tom Boon a passé la surmultipliée et empile les buts comme Goran Ivanisevic enchaînait les aces à sa grande époque.
– Alexis Cayphas a été fêté par ses équipiers à la fin de la rencontre. Il fêtera son anniversaire ce vendredi et a reçu un gâteau avec une bougie lors du débrief.
– Une seule carte a été donnée par le duo Hardy – Uyttenhove, excellent.
DR
Stick d’Or
La Hockey Night était organisée à Schelle, un village situé à un jet de stick de Boom. 300 invités participaient à cette grande fête des partenaires et des lauréats de la Fédé.
Laurine Delforge a été appelée sur scène pour partager son expérience internationale. Elle ne sera pas distinguée comme arbitre car jouant encore en championnat et ne sifflant pas : elle pourrait toujours remporter un Stick d’Or…
Marc Coudron a reçu une reproduction de la médaille d’Or de Tokyo : « Je ne l’ai pas gagnée… » Mais il l’a bien méritée.
Les commentaires allaient bon train quant aux nommés des Stick d’Or. Au point que certains nous ont fait part de leur étonnement d’absence de grands noms du championnat. « Bizarre, hein ! »
Deux arbitres ont été récompensés lors de la soirée par le prix de l’Umpire de l’année. Ce prix n’a rien à voir avec le Sifflet d’Or qui lui est organisé par okey.be depuis de nombreuses années et qui sera remis en fin de cette année.
Ozark Henry a agrémenté la soirée de deux de ses morceaux préférés; lui qui aime également le hockey.
La soirée fut longue (et agréable) et le dernier Stick a été remis à 23.20hr. De quoi faire paniquer les rédactions dont le bouclage est en général fixé à 22.00hr et parfois même plus tôt. Heureusement, elles avaient reçu les résultats plus tôt dans la journée et les journalistes ont pu préparer les papiers à temps. Et en plus, rien n’a fuité. Sauf à la soirée elle-même. Lors de la remise du prix Espoir féminin, la diapositive de la gagnante Charlotte Englebert) est apparue furtivement avant que le nom ne soit révélé par le porteur de l’enveloppe secrète.
PhD