Le comité exécutif de la fédération internationale s’est réuni les 15 et 16 mars et a pris quelques résolutions concernant le calendrier international.
Il a réaffirmé la nécessité absolue d’établir un calendrier international établi sur quatre ans, offrant un équilibre entre les possibilités de participation de toutes les nations, le bien-être des athlètes et les réalités commerciales ou les voyages internationaux.
Les récents problèmes et les objections majeures qui sont arrivées de partout ont poussé le Board à prendre sortir quelques recommandations.
• Augmenter l’importance des championnats et des événements continentaux
• Interrompre les événements de la série FIH après 2019, permettant aux associations nationales de se concentrer sur leur participation aux qualifications et aux championnats continentaux.
• Revoir le système de qualification pour la Coupe du Monde en accordant plus de poids aux performances en championnat continental
• Développer un système de classement mondial individuel basé sur les matches et plus sur les tournois comme actuellement.
On peut donc imaginer que si les Open Series sont suspendues pour une année, que si la Pro League ne donne plus d’accès à des points et aux qualificatifs olympiques et mondiaux, le calendrier international serait allégé. Mais bien sûr, la FIH ne dit pas cela, puisque la Pro League est assurée aux pays qui y participent pour 4 ans. Néanmoins, on sent une fêlure dans le processus et on attend avec curiosité la réaction des pays participants à cette nouvelle tendance.
Fini le mouillé
En ce qui concerne les terrains, le Board a confirmé son intention de ne plus faire disputer de rencontres sur des terrains mouillés à partir de 2024 ; il a pris acte des progrès des constructeurs pour concevoir des terrains secs aussi performants que les mouillés.
Notons enfin qu’il s’agissait de la première réunion pour le japonais Fumio Ogura qui vient d’être élu président de la Fédération de hockey asiatique.