Il a trois semaines, c’est une Céline Martin-Schmets amère qui s’épanchait sur sa non-désignation pour les rencontres de division Honneur suite à un test manqué. « Le règlement, c’est le règlement ! » C’est la raison de cette relégation de notre numéro 2 féminine de l’arbitrage. Sauf que Martin-Schmets revenait, le jour du fameux test physique obligatoire, d’une compétition européenne.
Objectif JO
Il y a deux ans, l’arbitre namuroise faisait part de sa déception de ne pas avoir été sélectionnée pour Tokyo. Elle était encore dans les pré-sélections pour les JO de 2020, mais seule Laurine Delforge a eu droit au pas japonais. Depuis, elle n’a cessé de travailler pour devenir encore meilleure dans son domaine. Au point de siffler en DH Messieurs, mais aussi un peu partout dans des compétitions internationales, y compris en Pro League et en Coupe d’Europe. Céline Martin-Schmets a alors travaillé sur deux plans. Elle l’explique ce matin dans La Libre.
Deux Belges à Paris, c’est l’objectif.