La « revanche » de la finale de Rio s’est transformée en grande fête du hockey et a réuni le plus grand nombre de supporters jamais enregistré en Belgique.
9.200 spectateurs, sans doute plus puisqu’on on a pu remarquer quelques resquilleurs qui ont utilisé les billets deux fois, se sont pressés sur les impressionnantes tribunes montées aux deux bouts du terrain numéro 1 d’Uccle Sport.
Tous les Red Lions étaient présents sur le terrain, et pratiquement tous les médaillés d’Or de Rio étaient là.
Le service d’ordre était bien présent, le contrôle à l’entrée s’est déroulé de manière fluide, les arrivants ayant bien lu les consignes.
Le compte-rendu de la soirée se trouve sur la libre.be : le hockey a eu sa grande fête
Une vidéo sur l’événement et quelques photos plus bas…
Après l’hymne argentin, c’est au tour de la Brabançonne d’être chantée non seulement par les Red Lions mais aussi par le public.
Le texte – bilingue – de notre hymne national avait été distribué à l’entrée et une bonne partie du public l’a chantée ; certains ont été surpris par un démarrage rapide des Lions, tellement habitués à la chanter. Un moment prenant.
Le match fut rapide, avec de jolies phases. Les Belges ont mené 3-0 à l a pause et 4-0 avec un bijou signé van Aubel. Puis les Argentins se sont repris et on mis trois buts.
L’impressionnante tribune de 4.000 places qui se trouvait à la place de l’ancien parking du club et qui se trouvait derrière un des buts a marqué les esprits ; les places du haut se trouvaient à 8 mètres de hauteur.
Le public, qui est resté très bon enfant, a fêté comme il se doit les médaillés de Rio.
Cette fête était aussi le match d’adieu de Jérôme Truyens. Tchouk se retire après près de 12 ans d’équipe nationale et avec un impressionnant nombre de caps, information qu’on retrouvera sous peu sur le site de la fédé : le dernier chiffre disponible (avant Rio) est de 319.
Après la rencontre, une séance de signature et de selfie a permis au public de côtoyer de près les joueurs.
Hommage également aux Argentins dont un grand nombre évolue ou a évolué chez nous.