La Libre Belgique a sorti une série de 6 articles sur les francophones de Flandres.
L’un des chapitres s’est intéressé aux langues utilisées dans les clubs de hockey.
Le journaliste est allé à la Gantoise, au Beerschot, à l’Herakles, entre autre clubs dit flamands.
On peut lire dans l’article nombre d’anecdotes sur le multi-linguisme que l’on y retrouve. Avec ces joueurs sur le terrain ou en dehors qui commencent leur phrases en français et les terminent en flamand. Ces clubs où le flamand est la langue officielle mais où la langue véhiculaire n’est pas unique.
Cela ne dérange que peu de monde
Avec l’arrivée des coachs australiens et néo-zélandais, puis ceux d’autres pays comme ceux d’Argentine ou d’Espagne, la langue des entraînements est devenue l’anglais. Là, il y a eu un certain flottement car tous les enfants ne possédaient pas l’anglais et certains ont été lésés. Mais les élites se sont finalement pliées à ce bilinguisme obligatoire. La Fédé a parfois fait l’objet de critiques quant à la langue utilisée par les coachs des Districts ou des jeunes U15 à U18. Finalement, en gros, le bilinguisme flamand-français dans les clubs de la VHL ne dérange presque personne, si ce n’est des groupuscules du style TAK.
Ce qui nous fait conclure que ce multilinguisme est une des richesses de notre hockey, qui constitue ainsi un vrai plan-langue pour nos jeunes…
En tout cas un article intéressant et amusant à lire…