C’est le nouveau logo du Langeveld que nous venons de recevoir. « Avec ce nouveau logo, nous souhaitons moderniser l’image de notre club tout en pérennisant l’identité créée à l’époque par Stéphan Verhulst et René Pirlot, que nous voulions absolument garder. » C’est l’explication de son président Guillaume Noël.
Le maintien
Cette saison a été stressante pour le Langeveld qui a finalement disputer un barrage pour éviter la descente en Nat 2. Comme toujours, la Nationale 1 est très disputée et tout peut arriver. Le maintien est à nouveau l’objectif de la saison de la succursale du Léopold. Plusieurs jeunes rejoignent le noyau : Brieuc Vanderborght, Hidde Doms, Martin Lahaye, Arno Verdoodt (tous du Léopold) ainsi que Sébastien Chapel. Au niveau des départs, on enregistre ceux de Martin Vanderborght, Quentin Lemaire, Timothy Muschs (staff) et Emil Devis (étranger). Vincent Van Gucht reste le T1.
Un championnat revalorisé
Si le trou entre la DH et la Nat 1 reste grand, le niveau tend à s’améliorer fortement. « C’est pour moi le championnat qui a le plus évolué ces 5 dernières années. Il se professionnalise de plus en plus. Rares sont les équipes comme la nôtre où les joueurs payent encore leur cotisation. Une équipe comme Malines en est un très bon exemple. Elle se battait pour ne pas descendre il y a quelques années. Aujourd’hui, grâce à l’apport de quelques étrangers et de son école des jeunes, elle joue les premiers rôles. Autre exemple : je ne me souviens pas d’un joueur de Nat1 appelé en équipe nationale. Ce fut le cas dernièrement avec la jeune Guillermo Hainaut d’Uccle Sport. »
Le Langeveld n’a pas d’école de jeunes, c’est un club qui ne compte que des Seniors. Et donc pas de jeunes pour alimenter les noyaux. « C’est un vrai casse-tête de trouver des renforts pour notre équipe fanion. D’où l’intérêt de ce partenariat renforcé avec le Léo qui nous met de jeunes joueurs à fort potentiel qui s’aguerriront dans l’antichambre de DH. »
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