Les deux coaches : « On ne passe pas ! »
La rencontre promettait d’être passionnante. L’enjeu était grand entre le White Star et le Wellington.
Sauf qu’à un peu moins de 20.00 heures, au moment d’allumer le courant sur le nouveau stade du White, alors que le football américain était lui bien allumé, les plombs ont rendu l’âme. Ou plutôt UN plomb. En effet, le service de permanence appelé par la manager des Everoises a pu tester à distance le tableau et définir avec exactitude où se situait le maillon faible de l’avenue des Combattants. Fallait-il encore venir ouvrir la cabine à haute tension.
A 20.00 hr, les deux équipes avaient déjà fait un peu chauffer la machine et étaient prêtes à monter sur le tout nouveau tapis étoilé. Les deux arbitres, Maxime Denis et Maxime Deraef se consultaient et donnaient aux dirigeants locaux une première limite pour retrouver la lumière.
Le temps était évidemment au jeux de mots et dès notre entrée au club house, la première fusait : « Ah, le photographe est là, lui c’est une lumière! ». Dany VdG : « Le courant ne passe pas au White. » Moustache : « Le bar va faire des affaires ici ! » H. « T’en fais pas, pour la 3e mi-temps, le courant sera là ! » Max. : « Le White a pété les plombs ! » Phil. : « Heureusement que cela n,e s’est pas passé à Bruges ! »
Les joueuses passaient le temps comme elles le pouvaient, les coaches ayant insisté pour qu’elles puissent disposer d’un temps raisonnable pour s’échauffer à nouveau. A 20.30hr, nouveau conciliabule : le technicien devrait arriver dans le quart d’heure. Entretemps, il est 20.37hr et la dernière limité est fixée à 21.00r pour retrouver la lumière et le début de la rencontre à 21.30hr.
A 20.55hr, pas de nouvelle du technicien : les arbitres décident la remise du match. A quand ? Ce sera à la fédé à décider, en tenant compte que le White doit disputer un nouveau match en soirée la semaine prochaine, pour cause de coupe d’Europe en salle.