Le grand sport de l’avant saison pour la Libre, c’est de prendre les photos d’équipe de la DH Messieurs ainsi que les photos individuelles. Indispensable pour illustrer le supplément qui est paru ce samedi et pour mettre à l’honneur les joueurs qui se sont démarqués lors d’une rencontre.
Cette année, la Libre a joint les photos Dames à celle des Messieurs et cela a bien sûr compliqué la tâche. Mais que des rencontres sympathiques et également que de premiers échos croustillants ou moins.
La photo qui illustre cet article est celle d’un renard qui furetait dans le parking du Léopold alors que la première photo Dames allait être prise.
Au Waterloo Ducks, Jean-Pierre Joly est toujours présent pour surveiller le bon fonctionnement des terrains. il nous a appris que les deux terrains du Watducks sont construit sur un terrain a été remblayé il y a plusieurs décennies par les terres excavées du métro bruxellois.
A l’Herakles, quelle ne fut pas notre surprise de rencontrer un dénommé Van Langeveld… qui n’était pas ucclois.
Le White Star s’est montré avec l’effectif le plus complet : pas moins de 24 joueurs : « Je pensais que certains allaient décrocher », expliquait Grégory Herman, ravi de l’engagement de ses joueurs. « Ils ont tous travaillé comme des fous; c’est génial. Je peux aligner deux équipes en championnat. »
Au White, pour la photo, on soigne son look. Juste avant la photo, c’est Maxime Neyts qui était chargé de recoiffer l’un ou l’autre. D’où son surnom de coiffeur qui risque de lui rester…
Au Léo, on a beaucoup rit quand Dorian Thiéry s’est amené avec son bandana : son nouveau look contraste avec celui d’Archibald de Kepper qui a choisi plutôt la mode explosée.
Certains coachs ne sont pas très contents de la reprise si hâtive du championnat. Il se plaignaient de ne pouvoir disposer de leurs jeunes encore en examen pour leur seconde session. « C’est trop tôt. Et que dire du championnat des jeunes qui commence également le 1 septembre alors que certains parents rentrent de congé ou de vacances le 31 août : on pouvait facilement repousser le début à la semaine suivante. A croire que les calendriers sont fait en bureau par des gens qui ne connaissant pas la réalité du terrain. On dirait qu’on apprend pas des leçons du passé. »
Certaines équipes ont éprouvé des difficultés pour rassembler leurs joueurs ou joueuses; examens, étrangers pas encore arrivés, boulot. Ainsi les gagnants des plus petits noyaux sont le Beerschot et les Dames du Braxgata.
Prendre la photo d’équipe et les individuelles peut aller très vite comme durer des plombes. Le gagnant de la prise de vue est la Gantoise Messieurs, il faut dire bien aidé par l’arrosage : les dernières photos étaient prises la menace d’un jet de l’arrosage et la dernière, celle du manager gantois a été faite en courant pour éviter l’eau.
Le Racing avait installé son nouveau tapis sur le terrain du fond. Dès le début, il s’avérait mal posé et plein de plis. La firme a dû le remplacer, ce qui a été fait très récemment. Cette fois-ci, il semble avoir été tendu et fixé. Mais il a tout de même montré quelques plis, heureusement hors du champ de jeu. On suivra avec attention son évolution.
Sur le terrain du Racing, on a pu voir des traces bizarres : des stries de 20 centimètres espacées de 5 cm. « Il s’agit de traces d’une machine qui nettoie le tapis. Ces machines pèsent une tonne; c’est très mauvais pour le tapis qui ne peut pas supporter les tensions fournies par les roues lorsque la machine doit tourner pour changer de direction. »
Et si, pour terminer votre visite au Racing, vous prenez vos précautions, ne manquez pas de visiter les pissotières du club house : vous allez pouvoir manifester votre adresse Messieurs, en poussant la balle dans le but.
Pas terrible la présentation dames dans ce supplément ; terne comme le championnat