Les échos de 3e mi-temps du 2 septembre

Léopold Racing dames

Les jeunes du Léopold sont montés sur le terrain pour accompagner les joueuses. Le tout sous la direction de la nouvelle mascotte du Léo : son nom, Léonce.

Dans les tribunes, Laura Patriarche arborait une belle cacarde et 7 points de suture au-dessus de l’oeil; souvenir de la balle qu’elle avait reçu en plein front la semaine dernière à l’entraînement. Elle se remet doucement de sa commotion et ne se snt pas encore prête à jouer avec sa nouvelle équipe, le Racing.

Le nombre de blessés est assez important. Ainsi à Louvain, on a appris que la canadienne Woodcroft a reçu une balle sur la main il y a trosi jours : main cassée; elle sera opérée cette semaine et devrait être indisponible pendant 5 seamines.

Devinez à qui sont ces décorations étoilées : d’un côté le logo du sponsor du Racing, de l’autre sur le bras cette étoile bien connue… : étonannte coïncidence !

Sur le marquoir du stade du Léo, la température indiquée est montée jusqu’à 29°C à 12.30hr.

Xavier Reckinger est co-T1 avec Lucas De Mot et avait choisi de visionner ses filles depuis la butte du terrain : le Reck devait partir après la rencontre pour Kontich où son équipe Mesieurs rencontrait le Beerscot: pas facile la double vie.

Gros émoi au secrétariat du club visité : il fallait la feuille de match pour des visiteurs. Impossible d’imprimer la feuille comme les années précédentes. On en est revenu 20 ans en arrière et les secrétaires ont retranscrit les noms des joueurs, aidés par le supplément de La Libre Belgique pour les numéros et les places, avant de photocopier les dites feuilles. « Il faudra recommencer tous les dimanches car les sélections changent à chaque fois ! » se lamentaient-elles.

Gros émoi après le match pour connaître les résultats des autres rencontres : si les scores étaient bien trouvables, on ne comptait plus les buteuses privées; l’application ne permet pas de voir les noms des joueuses si elles n’ont pas décoché le bouton qui assure la « privacy » de la joueuse. Nul doute que les choses vont se régulariser mais les avis autour de cette nouvelle applications étaient plutôt mitigés.

La rencontre fut d’un excellent niveau et le public a applaudi après le coup de sifflet final ; rare !

PhD

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Dragons-Orée

Juste après le but de Timothy Luyten, quelques supportrices postées juste derrière nous, se montraient plutôt enthousiastes. ‘Il est jeune mais assez mignon », souriait l’une d’entre elles.

En deuxième période, le match était interrompu par l’arbitre Michielssen. En cause? Des supporters trop vindicatifs. Felix Denayer les rappelaient d’ailleurs à l’ordre.

Le Dragons avait aligné, comme à son habitude, quinze joueurs. L’Orée en avait aligné seize mais il fallait attendre les dernières minutes de la rencontre pour que Willocx fasse son entrée.

BL

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Léopold-Waterloo Ducks

John Verdussen et Manu Brunet étaient à l’échauffement bien avant leurs coéquipiers : les deux joueurs de l’équipe première faisaient le tour du terrain derrière les barrières avec les poussettes de leurs enfants Elisa et Franco : sympa !

Les joueurs du Léopold portaient un brassard noir en l’honneur du frère de Tom Degroote, décédé la semaine passée.

PhD

La rencontre Léopold-Watducks a commencé par une minute de silence à la mémoire de l’ancien président et fondateur du Wadu, Jean-Jacques Luycx. Pendant laquelle on a juste entendu le commentateur de Telenet qui, casque sur l’oreille, commentait tranquillement l’avant-match.

On a revu avec plaisir dans la tribune Lucas Sevestre, l’ancien international français et ex-joueur de Louvain. Désormais basé en Australie, à Perth, où il s’occupe du marketing d’un équipementier, il est revenu quelques jours à peine en Belgique pour assister à un mariage et… au match de hockey phare de la première journée. Où pas mal de compatriotes à lui officiaient : Victor Charlet au Watducks, Jean-Baptiste Forgues et Gaspard Baumgarten au Léo. Sans parler de Nicolas Dumont qui a la double nationalité et joue en France.

Au Léo, il y a quelques règles à respecter, notamment au niveau vestimentaire. Ainsi, le président Bernard Lescot a-t-il fait se rhabiller un joueur d’une équipe mineure qui s’était attablé torse nu à cause de la chaleur. « J’espère que vous êtes membre du club pour me dire ça » lança le joueur, pas du tout agressif pour autant. « Ben oui, je suis juste le président » répondit son interlocuteur, dans le même style à fleurets mouchetés. Une scène qu’on n’imaginerait pas dans maint autre club…

Maxime Bertrand fait partie des trois joueurs du Watducks blessés pour la reprise du championnat (Guillaume Van Marcke traînant une blessure de longue durée depuis la saison dernière). Il nous a montré son poignet, qui est gonflé. On craint une fracture. Des analyses devraient rapidement établir le diagnostic. Enfin, son absence n’a pas empêché son équipe de marquer cinq buts. C’est une consolation…

Michaël Dutrieux a montré à la demi-heure une carte verte à Gauthier Boccard qui n’avait pourtant pas commis de faute. « C’était déjà la cinquième fois qu’il râlait sur une décision arbitrale. Je l’ai envoyé se calmer sur le banc deux minutes » commenta l’arbitre rasantais.

JFJ

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White Star-Daring

Le jeune Freyling a été efficace sur le terrain. Il n’a pas compté ses efforts. Il a aussi montré quelques frustrations. « On ne change pas de système quand on n’a pas la balle » pestait Freyling en direction de son coach qui est passé d’un système en zone à un autre en un contre un.

Ce même Freyling était mis K.-O. avant la pause et voyait son stick voltiger plus de 15 mètres. Personne n’était sur la trajectoire.

Dykmans (Daring) était présent avec son plâtre et ses béquilles au White Star. Il s’est blessé mardi lors d’un match amical contre l’Orée. Il a marché sur le pied de son adversaire. Résultat: 5e métatarse cassé et six semaines out.

Greg Herman dévoile son onze de base à ses joueurs quelques minutes avant le début du match.

Alex Van Linthoudt, blessé à la main, était l’autre absent au Daring. Il était dans la tour vidéo avec un casque. Du côté du White Star, on a surveillé afin de s’assurer qu’il ne coachait pas ses coéquipiers. Il est resté dans sa tour.

A 14h45, on a copieusement arrosé le terrain du White qui jouit, selon les acteurs du jour, d’une bonne réputation.
ThV

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Avec la complicité de : Thibaut Vinel, Bertrand Lodewijckx, Jean-François Jourdain, Philippe Demaret, et de tous ceux qui ont bien voulu lâcher quelques indiscrétions, volontairement ou non…