Et aussi ceux de la veille…
Il faut absolument que…
– Le site d’Erembodegem a suscité une avalanche de remarques en tout genre au point que nous avons été submergé… « Il faut absolument que tu en parles, j’ai un paquet grand comme jamais de trucs pour ta 3e mi-temps, etc. »
– Pour arriver à Erembodegem, il faut bien plus qu’un GPS. Si le numéro 31 de la Erem badaboumen … straat existe sur l’App de la Fédé, il faut être plus qu’explorateur pour arriver à trouver le site. Aucune indication, si ce n’est pour renseigner des tas de sports aussi divers que du golf, de la gym, mais rien en ce qui concerne le hockey. En plus, il y a d’autres installations sportives qui auraient pu recevoir le hockey et il nous est revenu des chercheurs qui sont arrivés dans un centre de gymnastique où le hockey était tout à fait inconnu. L’Indoor n’a pas pensé à indiquer le chemin des salles… Le but est-il donc de garder ce sport confidentiel ?
– Le hockey semble toléré, mais pas plus. Le sympathique panneau qui accueille les hockeyeurs est on ne peut plus clair : ici pas de hockey ! Les toilettes sont à un demi-euro et l’entrée à 8€!
– Denis P. : « Va voir les chiottes, ça pue la M…, il n’y a pas de papier… c’est dég… on est les bienvenus ! Il n’y a pas non plus de vestiaires… »
– Pascal : « il n’y a même pas de bar, il est fermé ! »
Dames Erembodegem
Pas de chance pour le responsable de la table Nick De Cleer, il a reçu une balle en pleine figure et semble bien arrangé.
Il faut dire qu’il n’y a aucun recul pour la table et les bancs : à peine un mètre cinquante d’un côté et même pas un mètre de l’autre.
Son collègue du dimanche a placé une table en guise de protection.
Dames Den Willecom
L’autre partie de la journée Dames se déroulait à Edegem. La tribune était quasi-vide : 18 personnes assistaient à la dernière rencontre de la demi-journée. « Pourquoi n’a-t-on pas organisé tout à Bruxelles alors que la majeure partie des équipes sont de la région ? Il n’y a que l’Antwerp qui a une équipe en DH« , relevait cette supportrice d’une équipe engagée.. Pour la première rencontre, il y avait tout de même 30 personnes, y compris la télévision régionale BX1 qui a suivi les compétitions Dames et Messieurs ce week-end.
Messieurs Erembodegem
Si la salle était bien conforme au minimum requis, les dégagements étaient quasi inexistants. On remarquait le chariot des poutres qui se trouvait le long du terrain, un obstacle dangereux. Tout comme les chaises et autres fauteuils servant de dug-out/bancs.
Pour les spectateurs, une tribune assise se trouvait au fond du terrain : une petite quarantaine de chaises pour les 18 spectateurs dénombrés lors d’une des rencontres. Pour arriver à ces places assises, pas d’autre moyen que de passer le long du terrain, devant la table et les bancs des équipes : « fallait pas arriver en retard… »
Le terrain en stilmat est bien celui réservé au hockey. Néanmoins, on remarque un cercle plus proche que celui du cercle habituel. « C’est pour le foot en salle : il y a une équipe de division 2 qui joue ici. »
Au White Star, Gaëtan Dykmans était présent en civil : « Une petite blessure, je serai là dimanche prochain. »
Philippe Simar était bien présent avec une attelle au genou droit. Il était aussi sur la feuille de match en tant que docteur.
Malgré les désagréments de la salle d’Erembodegem, les rencontres se sont bien déroulées, si ce n’est au niveau de la mise en train de la salle; tout est expliqué dans le compte-rendu de la journée.