Samedi, Oranje Rood évoluait avec son nouveau maillot. Un assemblage de couleurs qui, même aux Pays-Bas, est loin de rencontrer l’unanimité. Les deux jaunes er rouges ontd e quoi faire hurler les couturiers les plus ringards.
Les pauvres rouge-oranges n’auront finalement pas connu une année faste puisqu’ils ont été éliminés du top 4 et échoueront en finale de l’EHL. Ce qui fait que Thomas Briels, qui les rejoindra la saison prochaine, connaîtra une saison sans EHL; tout comme le nouveau gardien Pirmin Blaak qui venait de Rotterdam et espérait ceindre les lauriers avec OR. Raté.
Le départ des rencontres avec des feux de bengale rouges n’est plus l’exclusivité du Dragons. Wimbledon a même inventé une chorégraphie.
A propos de chorégraphie, le chef d’orchestre du club local était en grande forme… en tout cas dimanche !
Si le Dragons est un club très accueillant, ce n’était pas l’avis de cette journaliste néerlandaise dont le collègue a été refoulé sans ménagement samedi. Le service d’ordre n’était pas du même calibre que les bénévoles du Dragons. Ainsi, à la reprise de la seconde mi-temps de la finale, les « préposés » ont refusé aux spectateurs d’une tribune de rentrer vers leur place après avoir été cherché des boissons au village. Les cerbères ont du finalement plier après des négociations et l’intervention de tierces personnes. Une fête un peu gâchée par des gens peu au fait de la mentalité hockey.
Felix Denayer a été recousu (3 points de suture) sur la table de presse après le match. A voir l’écho paru sur lalibre.be
Les deux mascottes de service ont ouvert la rencontre Wimbledon-Dragons. Ils précédaient les arbitres à l’entrée sur le stade.
Avant la rencontre entre le Dragons et Wimbledon, une minute de silence a été observée en hommage aux victimes des attentats de Londres.
Henri Raes était embêté d’avoir balancé une balle qui était arrivée dans la tour de la télévision. Après un mouvement de la main, il s’est assuré de ne pas avoir fait de blessé.
A propos de TV, ceux qui étaient branché sur la TV ont pu remarquer un décalage entre les phases de jeu sur le terrain et la retransmission de l’image. Entre les deux, un décalage de 25 secondes, précisait le communication manager.
Grosse affluence dans la salle de presse, bien trop petite pour accueillir le flot de journalistes des divers médias néerlandais. Il y avait peu d’Allemands, un peu plus d’Anglais, une demi-douzaine de Belges et une quinzaine de Néerlandais. Quant à la douzaine de photographes, ils devaient se presser sur les quelques mètres laissés par la télévision; cette dernière, et la pub que l’on ne pouvait cacher, devient toute puissante.
Alors que le Dragons était occupé avec le Final Four, l’entraîneur du club voisin de l’Antwerp s’était lancé un autre défi : grimper le Mont Ventoux en vélo. Pour clore une saison pénible où il n’a pu éviter la relégation de l’Antwerp, il a également échoué dans son ascension. Son année prochaine sera meilleur. On lui souhaite le meilleur. Il se consolera également en se rappelant qu’il a mené les U21 en finale de la Coupe du monde à Lucknow.
Denis Poncelet était présent dans son nouveau jardin à Brasschaat. Si son aîné Nicolas a paraphé un contrat au Dragons, ses deux autres enfants sont toujours au Léo.
Juste avant la pause, il y avait deux balles sur le terrain. Alors que l’arbitre se penchait pour la ramasser, Loic Van Doren l’a dégagée du stick. La tête de l’arbitre méritait le détour. Loic Van Doren se confondait en excuse.
Les joueurs du Dragons ont suivi leur « kop » dans une nouvelle danse, dite du haka. On attend le peaufinement de la danse pour le début de la prochaine saison.
C’est l’ex-bourgmestre et actuel ministre de l’intérieur Jan Jambon qui a remis les médailles de bronze aux joueurs locaux.
Cologne a dû aller jusqu’au bout de ses forces pour décrocher l’or. Il sosnt tombés d’épuisement au coup de sifflet final.
Avec la complicité de Thibaut Vinel, Philippe Demaret et de ceux qui ont volontairement ou non contribué à cette rubrique