Antwerp-Racing 3-4
Juste avant la mi-temps, alors que le score est de 1-2, l’arbitre Laurent Dooms siffle pc pour une faute dans les 25 de Thomas Verheijen. Celui-ci, sans attendre la carte qu’il pense mériter (et pas que lui), va s’asseoir sur le banc des punis. Sauf que… aucun des deux arbitres ne sort une carte ! La phase de pc se termine, le jeu reprend et Jeroen Baart, le coach de l’Antwerp, s’inquiète de voir Verheijen sur le banc. Il s’informe auprès du Match Officer qui ne peut que confirmer : il n’y a pas eu de carte. « Allez hop, va jouer, qu’est-ce que tu attends ? » dit alors le coach à son joueur, qui ne se fait pas prier pour réintégrer le jeu. Avant que le coach s’en prenne au Match Officer, qui n’y peut strictement rien. Impossible d’empêcher un joueur de s’asseoir s’il est fatigué, ou de sortir du terrain pour satisfaire un besoin pressant !
Le Racing a joué à 15. Oscar Berton figurait sur la feuille de match mais n’était pas physiquement présent.
Le terrain de l’Antwerp est bien meilleur qu’il y a quelques années. Avec les trombes d’eau qui sont tombées dimanche, le terrain aurait immanquablement été noyé il y a quelques saisons. Ici, pas la plus petite flaque. Par contre, le ring d’Anvers était à l’arrêt dans le sens Brasschaat-Gand, avec un bouchon de près de 10 km.
JFJ
Herakles-Léopold 3-3
La tribune des commentateurs de la télévision étaient loin d’être abritée, ainsi que l’avait souligné FG dans le précédent « écho ». Au point que Floris Geerts, habitué des tribunes du foot, n’avait pas prévu la rusticité de son outil de travail. A la fin du reportage, le pauvre Floris a dû enlever ses chaussures et tordre ses chaussettes, trempées. On imagine Rodrigo Beenkens devoir commenter un match de hockey et faire de même. Vraiment au hockey, on sait vivre… à la dure !
PhD