Suite à l’annonce du départ de Gus Meurmans vers l’Inde, La Libre avait signalé que le médian du Racing allait sans doute devoir remplacer John John Dohmen.
L’ARBH a envoyé aux médias un communiqué selon lequel Dohmen avait effectivement contracté une bronchite avant le tournoi, raison pour laquelle il avait été ménagé lors des rencontres de préparation. Le communiqué spécifie que sa bronchite n’est qu’un mauvais souvenir et qu’il récupérait bien.
Dans La DH-Les Sports de dimanche, le journaliste qui a eu Dohmen au téléphone relevait que le milieu belge n’arrêtait pas de tousser. Sans doute une queue de son affection. Les conditions climatiques ne sont pas bonnes, le stade est infecté de bestioles. Dimanche, Dohmen n’a pas joué en fin de rencontre face aux Indiens.
Hier soir, La Libre confirmait certaines inquiétudes concernant la situation en Inde. Il est vrai que la vie n’y est pas facile et que d’énormes précautions doivent être prises. Un long article était paru dans La Libre sur toutes les précautions que Julien Rysman et son équipe devaient prendre : une interview très instructive et qui montre que la vie de sportif d’élite n’est pas simple hors de son pays. Il suffit de se souvenir de l’équipe allemande qui était sur les genoux l’an passé et de savoir que cette année, c’est l’Australie qui est touchée par une épidémie. Ce matin, dans la Libre, l’interview de Gus Meurmans en dit un peu plus à propos de son départ vers l’Inde.
Quoi qu’il en soit, il reste une semaine à tout le monde pour se rétablir et être prêt pour le match de cross-over; même s’il ne faut pas négliger la rencontre face à l’Afrique du Sud. En tout cas, souhaitons que Dohmen soit en pleine possession de ses moyens au plus vite.
Petite constatation amusante : si les Belges étaient battus par l’Afrique du Sud avec un gros écart et terminaient ainsi 3e de la poule, ils rencontreraient à nouveau l’Inde en quart de finale – si bien sûr ils battaient l’Allemagne ou les Pays-Bas en cross-over. Mais tout cela est du rêve et bien sûr très dangereux.
Mais qu’il aille chercher un sirop ayurvédique, c’est radical.