La première rencontre des Belges contre l’Allemagne a été longue à se dessiner. Il a fallu 50 minutes et un sleep lucarne d’Ambre Ballenghien pour obtenir cet unique but. Les équipes prennent cette Pro League comme un entrainement et une préparation pour les futurs objectifs qui sont la coupe du Monde Dames en Espagne et aux Pays-Bas lors de l’été prochain. Les Pyas-Bas ne sont venue qu’avec une demi-équipe mercredi passée et ont souffert face aux Belges.Mais les Pays-Bas restent ce qu’ils ont et les joueuses remplaçants ne sont pas des seconds couteaux.
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Pour ce qui est de l’Allemagne, Xavier Reckinger peut compter sur une quarantaine de joueuses qui remplissent son noyau. Il est venu à Bruxelles avec deux titulaires et une réserve de son équipe des JO. Revenu de Tokyo avec une élimination en quart de finale contre l’Argentine (l’Allemagne a pratiquement tout gagné en poule mais tombe en quart sur une Argentine qui a fait un très mauvais début de tournoi), les Allemandes vont se reposer jusqu’au début de l’année prochaine. SI ce n’est ces deux rencontres qui auront servi à tester les joueuses candidates à la suite du développement de l’équipe. C’est dire si cette Allemagne qui s’est présentée à Uccle n’était pas un oiseau pour le chat, avec des joueuses qui avaient tout à prouver.
Emma Puvrez explique cette première rencontre.
Banquette
Le noyau qui a joué samedi était sans Vanessa Blockmans, qui avait pourtant joué mercredi. Elle explique le pourquoi de son roulement ce samedi.