Salle Messieurs : match numéro 5

Copier-collé de la soirée d’hier pour les Messieurs. C’est ce qui aurait dû se passer à part que c’est à la salle du Léopold que devaient se dérouler deux rencontres.

17.45hr : coup de fil au Léo pour s’assurer que les rencontres allaient bien avoir lieu. « Oui, pas de souci, on a résolu le problème. » Le problème, dont on parlait déjà plus tôt dans la  semaine et hier à Uccle, c’était l’écoulement des eaux sur les terrains de tennis convertis en salle de hockey. Le terrain est en pente, mais dans le mauvais sens. Et cela, personne ne l’avait remarqué avant l’installation du terrain salle. Du coup, démontage du terrain, placement d’une bâche de protection contre la remontée des eaux et remontage. En principe, cela devrait aller !

19.00hr : arrivée des médias, des joueurs, des spectateurs : « Ah ! c’est remis, On joue au Watducks ! » confirmaient des joueurs de Namur qui avait vu ceux du Racing partir vers Waterloo.

20.00hr : arrivée au Watducks, les joueurs du club qui devaient s’entraîner en salle avaient été priés d’aller prendre l’eau dehors. Abdou M., le célèbre membre de la commission salle, avait reçu un coup de fil dans sa voiture avec une petite vidéo en Whatsapp lui montrant l’eau perçant à travers les dalles du  Léo. Le sympathique Abdou était bloqué à l’entrée de Bruxelles depuis une heure et fut tout heureux de pouvoir se dérouter vers Waterloo; il prit la décision d’y faire disputer les rencontres avec un décalage horaire.

Commentaire : La journée de salle a failli tomber à l’eau. Heureusement qu’un club a pu mettre son terrain à la disposition de la fédé, sans quoi, elle se retrouverait devant un casse-tête de programmation. Les intempéries sont les pires choses qui puissent arriver pour le programmateur du calendrier, indoor mais aussi et surtout outdoor. Un nouveau problème vient de se dresser devant le responsable de l’ARBH : les embouteillages. Pour aller de Namur à Uccle, un des officiels a mis trois heures. Pour aller de Tervuren à Anderlecht, il fallait pour arriver à l’heure des rencontres en salle près de deux heures de plus que d’habitude. A moins de prendre une après-midi de congé, il n’est désormais plus possible d’arriver à une rencontre organisée le soir en semaine. Il faudra en tenir compte pour la mise sur pied du calendrier : une épine de plus pour la fédé.

La première rencontre de la soirée a vu le White Star prendre le meilleur sur le Baudouin. Le match suivant entre Louvain et l’Amicale fut riche en buts.
A Waterloo, le Pingouin a mené la vie dure au Racing, revenant à un but des Ucclois en fin de match. Et Namur a pris le large 8-4 sur le Watducks.

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Philippe Demaret