Septième volée du Top 50 de Okey.be.
Les 50 événements qui ont marqué l’année selon vous et selon la rédaction de Okey.be, que ce soit en bien ou en mal. Un classement tout à fait subjectif.
Aujourd’hui le classement de 20 à 16.
20
Le stade de l’Euro fut apprécié par les spectateurs qui auront eu l’occasion de soutenir les Red Lions dans leur parcours vers le titre. On oubliera les quelques détails qui ont gâché la fête pour souligner les facilités d’accès au stade, les villages très fournis et le confort des tribunes. L’ambiance fut excellente, surtout lors des phases finales. Le site de la Wilrijkseplein sera à nouveau le théâtre des 16 rencontres de la Pro League qui auront lieu fin mai et en juin.
19
La fumée blanche n’est toujours pas sortie de la cheminée de l’Exécutif bruxellois. Le Stade national ne sera pas inauguré en 2020 comme la Fédé l’avait souhaité. Uccle, Woluwé, Evere ne sont encore que des rumeurs. Bruxelles est trop petit et y trouver de la place pour un stade de 5.000 places, avec du parking et des facilités d’accès ne sera pas simple. Dans le même temps, des centres d’excellence sont en cours de conception, ailleurs que dans notre capitale. Cherchez l’erreur.
18
Shoot to Kick est une action qui a mobilisé plus de 200 hockeyeurs et a rapporté plus de 11.000 euros à l’association Kick Cancer qui se mobilise pour lutter contre le cancer des enfants. Elodie Picard et Vincent Vanasch se sont confrontés à des équipes de jeunes aux shoot-outs au parc de Woluwé. Une grosse affluence et un succès.
17
La soirée des Sticks d’Or a eu lieu le 10 novembre et a couronné Florent van Aubel pour la troisième fois et Emma Puvrez pour la première fois. Les Sticks Espoirs sont revenus à William Ghislain et à Ambre Ballenghien. Le prix du Public est revenu à Felix Denayer et Estelle Meulemans.
16
La plus grosse déception de l’année aura été l’élimination des Red Panthers pour les JO. Pour toute communication à propos de ce réel drame, la Fédé n’aura sorti qu’un communiqué annonçant la nouvelle stratégie pour Paris 2024 avec trois départs marquants. De nombreuses réactions ont fleuri un peu partout dans les médias mais sans vraiment analyser les causes. Baudouin Peeters s’est fendu d’une analyse (les 5 raisons de l’échec) qui posait de bonnes questions. Mais la plus frappante sortie est venue dans nos colonnes via Anouk Raes qui a tiré la sonnette d’alarme. Une interview qui pointent des problèmes de fond dont on se demande s’ils ont bien été étudiés. 16, ce sont les joueuses qui auraient du être sur le tapis de Tokyo : c’est le classement de ce traumatisme qui a touché bien plus que les 18 malheureuses de Changhzou.