Philippe Goldberg reprend les Dames du Braxgata après une longue et belle histoire avec Shae MacAleese qui a conduite son équipe au titre… sauf la saison passée.
« Je n’ai vraiment pu commencer la prise en charge de l’équipe que le 20 août car les internationales ont reçu un bon congé jusqu’à ce moment-là », explique le nouveau T1 du Brax.
« Les Play-Off, c’est quelque chose de spécial. Evidemment que l’objectif était la finale et le titre. Je ne peux pas expliquer ce qui s’est passé, je n’y étais pas. Mais il a manqué un petit quelque chose, c’est sûr. Aujourd’hui, les équipes du top se valent et ce genre de chose peut arriver. Je recommence une nouvelle histoire avec cette équipe, mais il est encore trop tôt que pour que je puisse en parler. »
Le Braxgata a misé sur une certaine stabilité et sur la continuité. Erik Gysels souligne cela en avançant ses transferts de l’été. « Chez les Dames nous avons trois départs et trois arrivées. Elena Sotgiu remplace Mégane Simons dans les buts; Mégane est partie faire un Master aux USA. Laura Cornette remplace Eva Van de Mierop partie à Boston pour ses études.Et Emilie Meyvis remplace Silke Steenackers qui est retournée au Mechelse après avoir passé 10 années chez nous. »
Le président du Braxgata souligne la présence de 12 des 19 joueuses de son équipe qui proviennent de son école des jeunes, toutes ayant commencé à l’âge de 5 ans, comme Julie Halsberghe (16 ans) qui rejoint le noyau de première.
La vie de cette équipe n’est pas simple. « Nous avions 7 joueuses de notre noyau à Londres (sur les 18 Red Panthers). Ce n’est pas évident d’entraîner une équipe avec autant d’internationales, en comptant aussi Berta Bonastre qui continue ses études en Belgique. Avec Philippe Goldberg, qui a déjà coaché l’équipe pendant 4 ans avant Reckinger et MacAleese, nous avons les moyens de viser à nouveau le titre. »